Drake rattrapé par une veille affaire l’accusant de viol

21 juin 2019 à 12h27 par Bertrand Loppin

En 2017, Drake était accusé de viol. L'affaire revient aujourd'hui sur le devant de l'actualité. La victime présumée vient de briser l'accord de confidentialité signé avec les avocats de l'artiste.

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Crédit : Commons Wikimedia

C’est une sale affaire qui refait surface et dans laquelle Drake n’est pas à son avantage, en admettant que les accusations portées contre lui soient fondées et réelles. En juin 2017, la mannequin Laquana Morris avait porté plainte contre lui pour viol. Les faits se seraient déroulés en février 2017 dans un hôtel de Manchester. Cette plainte n’a finalement jamais abouti. La justice britannique qui avait été saisie avait refusé d’y donner suite, estimant qu’il ’y avait un manque preuve. De son, côté Drake avait également décidé porter plainte contre son accusatrice pour allégations mensongères et diffamation. Finalement, les avocats de Drake concluront un accord financier avec elle, mettant ainsi fin à l’affaire.

Mais aujourd’hui et contre toute attente, ce dossier revient sur le devant de l’actualité suite aux révélations publiés publiées par le site américain The Blast. En effet, Laquana Morris vient d’assigner son propre avocat, Alex Cabereira. Elle est persuadée que de dernier a fait cause commune avec Drake, contre elle. Du coup, elle a décidé de parler. Elle a révélé le contenu de l’accord qui avait été conclu. Drake s’était engagé à lui verser 350 000 dollars en échange de l’abandon de toute procédure contre lui et avec l’obligation de ne plus évoquer l’affaire.

Laquana Morris a également révélé des détails précis de l’agression dont elle prétend être victime. Elle raconte la nuit que Drake l’aurait forcé à passer. Elle explique avoir dû se plier à des pratiques fétichiste  Drake l’aurait également obligé a pratiquer du sexe oral. Laquana Morris affirme avoir subi un viol. De son côté, lorsque l’affaire avait éclaté, Drake avait reconnu avoir eu une relation sexuelle avec elle, mais il avait affirmé qu’il s’agissait d’une relation sexuelle consentie.