Euromillions : il remporte pour la deuxième fois le jackpot d'un million d'euros en deux ans

27 octobre 2022 à 21h12 par A. L.

Euromillions : il remporte pour la deuxième fois le jackpot d'un million d'euros en deux ans
Photo d'illustration
Crédit : Pixabay

Un père de famille a eu la chance de gagner deux fois un million d’euros au My Million, en 2020 puis en 2022, le jour de son remariage.

Heureux au jeu, malheureux en amour ? Alain (le prénom a été modifié, ndlr) a la chance d'être comblé à tous les niveaux. Ce père de famille a remporté un million d'euros une première fois en 2020 en jouant à EuroMillions - My Million, "au moment de la sortie du confinement". Et tenez-vous bien, deux ans plus tard, l'homme a de nouveau remporté la mise, comme il vient de le raconter au Dauphiné libéré ce jeudi 27 octobre.

 

Il gagne le jour de son remariage

 

Alain a appris la nouvelle de son deuxième gain alors qu’il sortait son chien, le jour de son remariage. "La façon dont ça s’est passé est assez folle : je l’ai appris le jour de mon remariage avec ma femme. La cérémonie avait lieu le matin et la fête le soir [...] Entre les deux, en sortant mon chien, je suis allé vérifier mes tickets d’Euromillions dans un bureau de tabac, et c’est là que je me suis rendu compte que j’avais gagné une deuxième fois. Je n'y ai pas trop cru", explique-t-il. "Je n’y ai pas trop cru". Il a ensuite réuni sa famille pour leur annoncé. "J’ai mis une chanson de Slimane qui s’appelle 'Le million' et ils n’ont pas compris tout de suite. Ça a été assez sympa !", révèle-t-il.

Puis, l'heureux gagnant a réservé les billets pour son voyage de noce à Venise, tout en prenant soin de garder le deuxième ticket gagnant bien en sécurité. "Je l’ai gardé sur moi pendant tout le séjour parce que je n’osais pas le laisser à l’hôtel", déclare-t-il au quotidien régional. S'il continue à travailler en tant qu'indépendant, Alain espère que la chance frappera à sa porte une troisième fois. "Je continue de jouer parce que maintenant, je sais qu’on peut gagner. Je suis dans la logique du ‘jamais deux sans trois", conclut-il.