Aya Nakamura, régulièrement la cible de critiques, est au centre d’une nouvelle polémique. Cette fois, c’est une chronique signée par Darwin, un auteur sous pseudonyme du journal satirique Fakir, qui choque la toile. Son article, intitulé de manière provocante « J’ai envie de tuer… Aya Nakamura », a déclenché une vague d’indignation sur les réseaux sociaux.
Une chronique virulente et controversée
Dans cette chronique, Darwin ne mâche pas ses mots, attaquant la chanteuse sur plusieurs fronts. Outre des critiques sur son physique et son attitude sur scène, il la qualifie de « cervelle de moineau » et dépeint ses performances comme des « gesticulations obscènes sur scène, à mi-chemin entre la dondon et l’actrice porno ». Ces propos se sont rapidement retrouvés au cœur des débats, provoquant une mobilisation massive en ligne contre ce qui est perçu comme une attaque raciste, sexiste et méprisante à l’égard d’une femme racisée.
- « J’ai envie de tuer Aya Nakamura »
- « Novlangue de pute »
- « À mi-chemin entre la dondon et l’actrice porno »
Ces déclarations choquantes, relayées sur Twitter, ont suscité des réactions indignées de nombreux internautes et personnalités, dénonçant un déferlement d’injures injustifiables.
Une star jugée dangereuse par ses détracteurs
Pour se défendre, Darwin avance que la musique et les paroles d’Aya Nakamura contribuent à une détérioration de la langue française. Selon lui, la chanteuse participerait au développement d’une « novlangue », un concept emprunté au roman 1984 de George Orwell. Darwin estime que la simplification du langage portée par l’artiste pourrait affaiblir la capacité de réflexion du public, en particulier chez les jeunes générations.
Une réponse de la chanteuse attendue
Malgré ce tollé, Aya Nakamura n’a pas encore pris la parole pour commenter cette polémique. Néanmoins, les soutiens affluent en ligne, où de nombreux internautes dénoncent ces attaques, les qualifiant de masques pour stigmatiser une artiste populaire.
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